Surentraînement, burn-out : Quand le traileur perd le sens

Image générée par ChatGPT Toujours plus. « No pain no gain » . « Train Hard – Win Easy » . Et puis un soupçon d’addiction. La croyance que « ça n’arrive qu’aux autres ». Mais le corps, il nous le rappelle, a ses limites. Il n’y a qu’un pas vers le surentraînement, vers l’épuisement, le burn-out. C’est un piège dans lequel beaucoup tombent, plus que jamais à l’heure où la comparaison est partout, de Strava à Instagram. Alors ça y est, la fatigue s’est installée, la motivation se dégrade au même titre que les performances, les blessures s’enchaînent… Autant de signes qui envoient l’alerte d’un état de surentraînement. De ce cercle vicieux il est difficile de sortir, si le coureur ne le prend pas en charge très tôt. Quelles sont les causes ? Et pourquoi tombe-t-on si facilement dans le piège d’une pratique addictive ? M’inspirant de ma propre pratique à mes débuts et me penchant sur les recherches scie...